Club des Aînés de Pfulgriesheim

De plus en plus nombreux aux sorties du club !

Record battu pour la sortie du 29 novembre 2018 avec 71 participants.

Au programme, visites des ateliers des chaussettes Labonal à Dambach la Ville et de la fabrique de pain d’épices Lips à Gertwiller. Entre les 2 visites, le restaurant Kirmann à Epfig nous a régalé d’un pot au feu à l’ancienne, suivi d’un succulent vacherin.

Ateliers Labonal à Dambach-la-Ville:

Après la présentation d’un diaporama attractif, la visite des ateliers nous a permis de suivre la création d’une chaussette depuis la bobine de fil jusqu’à la mise sous emballage. Pas moins de 7 matières premières sont utilisées (laine, coton, fil d’Ecosse, lin, polyamide, polyester, soie ou angora).

Près de 200 personnes travaillent sur le site qui, malgré les difficultés économiques, tiennent à maintenir une excellente qualité de fabrication, fidèles au cahier des charges défini depuis 1924 par le créateur de l’enseigne: concevoir des chaussettes « qui ne tombent pas, bien taillées, qui ne font pas mal et s’usent lentement ».

Vous trouverez chaussette à votre pied chez les détaillants, les grands magasins ou à la boutique Labonal, 5 rue de l’outre à Strasbourg.

Maison du pain d’épices Lips à Gertwiller:

« Un musée du pain d’épices et de la tradition d’Alsace : voilà ce qu’a réalisé Michel Habsiger dans ce qui fut et reste la maison Lips. Il y avait sept (ou neuf, selon les sources) fabriques de pains d’épices, jadis, à Gertwiller, en 1900. Il n’y en a plus que deux aujourd’hui : Fortwenger, le « gros », administré par Michel et Steve Risch, père et fils, et cette maison- ci, qui, avec ses dix employés, son procédé de fabrication à l’ancienne, perdure dans la tradition. Fondée en 1945 (mais ce fut auparavant la maison Silbereisen, dont le stand de vente est illustré par Hansi dans Mon village), relancée par Michel Habsiger à partir de 1977, elle se prolonge d’un musée du pain d’épices, dédié à toutes les arts populaires d’Alsace, avec l’imagerie des fêtes, les moules à gâteaux, les faïences ou le mobilier » (Gilles Pudlowski, ‘les pieds dans le plat’).

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